Aller au contenu
Accueil » Usages particuliers » Les flammes de 1939 à 1945 » Les flammes avant guerre

Les flammes avant guerre

La directive du 8 août 1923 (JO du 16) à MM. les préfets du sous-secrétaire d’État aux postes et télégraphes autorise les flammes de propagande privées à intérêt touristique, foires, expositions et de « toutes manifestations d’ordre économique ou social présentant un intérêt national ».

Au niveau local un grand nombre de ville opte pour une flamme ventant la spécialité locale touristique ou gastronomique. Toute foire de quelque importance se doit d’être annoncée par flamme.

Les grandes causes mobilisent les flammes, les PTT en profitent pour faire passer ses messages et l’armée sa propagande.

Quelques bureau particuliers ont aussi leurs machines à oblitérer comme le Sénat ou les agences embarquées.

Il est aussi possible de trouver sur des timbres Français des oblitérations étrangères.

Pour assurer sa promotion, les PTT tiennent un stand dans les grands salons parisiens. Aux salon des Arts Ménager de 1939 deux machines sont utilisées une RBV et une Frankers-SECAP.

Pour affranchir cette lettre à 90 centimes, au tarif du 17 novembre 1938, ce philatéliste a utilisé un bloc de six du 15c orange. La postier a passé deux fois la lettre dans le machine après l’avoir plié pour obtenir de belles oblitérations bien nettes (RBV D262)

Le 31 janvier, c’est la Frankers-SECAP qui a oblitérée la carte (D261)